Anthony, au Marathon de Paris
Après 3 mois de préparation, quelques centaines de kilomètres avalés, une grippe (la vraie), l’heure du Marathon de Paris a enfin sonné. 54000 coureurs au départ, pour un parcours très plaisant. Les premiers kilomètres sont très roulants. Les choses se corsent aux abords de la Seine, ca monte, ca descend, on passe dans les tunnels. La chaleur se fait clairement ressentir. Les spectateurs sont toujours aussi nombreux à nous encourager. Ca fait du bien…
Arrivé au kilomètres 34, les choses se corsent. Je fais une croix sur mon objectif de 3h30. La tentation est grande de marcher. D’autant plus, qu’il y en a pas mal qui le font. Je ne lâche pas, je ralentis et le couteau entre les dents, je poursuis la route. Les kilomètres défilent lentement, très lentement. Le kilomètres 41 arrive, et j’accélère, pied au plancher (5.35 au kilo ;-)).
L’arrivée est là, elle me tends les bras, je double et j’arrête le GPS : 3h36. J’améliore mon temps de 6 mns par rapport à 2013, sur un parcours moins évident. Déçu de ne pas avoir tenu les 3h30, l’idée du négative split était hors de portée, mais ravi de voir un RP tomber.
Affûté, M. Diagana… et très sympa en plus.
Avant le départ :
Juste avant le départ…
Après l’effort… (quoique : bière tiède et sandwich pas terrible)
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